“My business received a communication from UN Special Procedures human right experts. What happens next?”

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Les communications sont des lettres officielles adressées par des expert.e.s indépendant.e.s des droits humains des Nations Unies à des États, des entreprises ou d’autres acteur.rice.s en réponse à des violations des droits humains dans lesquelles il.elle.s auraient joué un rôle.

Ces violations peuvent avoir eu lieu, être en cours ou fortement susceptibles de survenir.

La lettre des expert.e.s des Nations Unies va présenter les faits reprochés dans un cas donné et demander des clarifications sous la forme de questions auxquelles l’entreprise devra répondre. Ceci est suivi de références aux lois et normes internationales correspondantes.

Aussi bien avant qu’après l’envoi de la réponse à la communication, toutes les mesures nécessaires doivent être prises pour remédier aux atteintes présumées et garantir que les opérations de l’entreprise respectent les normes internationales relatives aux droits humains applicables et les Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme des Nations Unies.

Dans la plupart des cas, une lettre similaire aura été adressée à l’État où les violations ont eu lieu, à l’État où se situe le siège de l’entreprise, ou aux deux. Les lettres envoyées aux États et aux entreprises restent confidentielles pendant 60 jours – on suppose qu’une réponse sera reçue pendant ces 60 jours. À la suite de cette période, indépendamment du fait qu’une réponse ait été reçue ou non, la communication et la réponse potentielle sont publiées sur une base de données publique.

Las comunicaciones son cartas formales redactadas por expertos independientes de las Naciones Unidas a Estados, empresas o demás actores, en respuesta a violaciones de los derechos humanos en las que presuntamente han desempeñado un papel.

Es posible que estas violaciones ya hayan ocurrido, se estén produciendo o tengan un alto riesgo de ocurrir.

La carta de los expertos de las Naciones Unidas expondrá los hechos alegados en un caso dado y buscará aclaraciones en forma de preguntas, a las que la empresa debe responder. A esto le seguirán referencias a las leyes y normas internacionales pertinentes.

En el periodo anterior y posterior al envío de una respuesta a la comunicación, se deben tomar todas las medidas necesarias para abordar las presuntas violaciones y garantizar que las operaciones de la empresa estén en consonancia con las normas internacionales de los derechos humanos aplicables y los Principios Rectores de las Naciones Unidas sobre Empresas y Derechos Humanos.

En la mayoría de los casos, se habrá redactado una carta similar para el Estado donde ocurrió la violación y/o donde tiene su sede la empresa. Las cartas tanto para los Estados como para las empresas, permanecen confidenciales durante 60 días, con la expectativa de que se reciba una respuesta dentro de los 60 días. Pasado este periodo, independientemente de si se ha recibido una respuesta o no, la comunicación y cualquier respuesta se publicarán en la base de datos pública.